On ne saura jamais quelles étaient les causes de ces réveils brutaux que Jean-Louis Rappard appelait tôtifs et qui l'ont frappé à partir de la quarantaine. C'est sans doute pour faire face à ce désœuvrement latent fort matinal qu'il s'est plongé manifestement dans une production d'artiste tardif, elle-même malgré tout issue de différentes tentatives picturales et « imaginistes » d'un temps où il dormait bien. Plusieurs formes d'expression se sont offertes à lui : la peinture à l'huile, le pastel gras ou les dessins au stylo Ball Pentel. Pour Jean-Louis Rappard, l'important n'... En savoir plus